La Bible se compose de deux grands Livres que sont l’Ancien et le Nouveau Testament. Dans l’Ancien Testament, le Seigneur apparaît sous le Nom de Yahvé et dans le Nouveau Testament sous le Nom de Jésus. Le traducteur de la Bible précise, au commencement du Nouveau Testament, en page 2091, que le Nom de Jésus signifie :
" Yahvé est salut "
Il est important d’en tenir compte. Il y a là une Unité qui est fondamentale, une Unité qui mérite d’être considérée, approfondie, si peu que ce soit.
" Jésus signifie « Yahvé est Salut », le nom figure dans l’Ancien Testament, où il désigne Josué, l’auxiliaire et le successeur de Moïse, et l’organisateur de la caravane du retour des exilés. " (P2091)
Le dictionnaire précise :
" Jésus, forme grecque du nom hébreu Josué, signifie Dieu sauve ".
Il est important d’en tenir compte. Le Nom de Jésus signifie " Dieu ". Nous noterons que " le seul véritable Dieu " ne cache pas la Vérité à ceux qui cherchent à Le connaître. Elle est seulement cachée aux yeux de ceux qui ne tiennent aucun compte de ce qu’ils lisent ou écrivent.
" Et telle est l’éternelle vie : qu’ils te connaissent, toi, le seul véritable Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. " (Jean 17 :3)
C’est dans l’Ancien Testament, et plus particulièrement dans le Livre de l’Exode que Dieu révèle Son Nom à Moïse, afin " qu’ils " Le connaissent et soient délivrés par-là même d’une emprise qui n’a rien d’heureux.
" 13 S’ils me disent : Quel est ton nom ? – que leur dirai-je ? 14 Dieu dit à Moïse : « Je suis qui Je suis. » Il dit : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : Je Suis m’a envoyé vers vous. » 15 Dieu dit encore à Moïse : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : Yahvé, le Dieu de vos pères, le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob, m’a envoyé vers vous ; c’est mon nom à jamais, c’est mon appellation de génération en génération. " (Exode 3 :13 N)

Si Dieu révèle Son Nom à Moïse, Son Identité, c’est afin que nous puissions Le connaître. Or, connaître Dieu signifie jouir de " l’éternelle vie ".

Le traducteur de la Bible nous aide à considérer l’importance de cet extrait du Livre de l’Exode en précisant, au sujet du verset 14 et suivant :

" Verset fameux qui traite du nom du Dieu d’Israël : Yahvé. Attesté ailleurs sous les formes Yah, Yô, Yahô, Yahû (quelle que soit leur origine), il reçoit ici une explication par le verbe « être ». Dieu dit : « Je Suis » ('èhyèh) ; les israélites diront : « Il est » (yahavèh), c'est-à-dire Yahvé, pour désigner le Dieu des pères. " (P149)
" Je Suis m’a envoyé vers vous "
" Yahvé, le Dieu de vos pères, ..., m’a envoyé vers vous "
" c’est mon nom à jamais, c’est mon appellation de génération en génération "

Comme nous l’avons vu précédemment, lorsqu’un homme se tourne vers Dieu, connaît " le seul véritable Dieu ", Dieu lui donne la jouissance de son vrai Moi, de sa véritable Conscience. Il n’y a alors plus que la Révélation de " celui que tu as envoyé ", il n’y a plus que la Révélation de Moïse, de notre Moi ! Cette Révélation libératrice et bienheureuse est celle de Dieu.

Donc, si nous connaissons " celui que tu as envoyé ", nous connaissons notre Moi, et nous connaissons obligatoirement " sus " car vous vivons de notre vrai " Je " qui est l’Expression de notre vrai Moi à qui Dieu révèle Son Identité afin que soit l’Identification parfaite.

" Jésus, ... le nom figure dans l’Ancien Testament, où il désigne Josué, ... le successeur de Moïse " donc le successeur de " celui que tu as envoyé ". Nous noterons que le Nom de Jésus lui succède tout naturellement : " celui que tu as envoyé, Jésus ". Si Dieu révèle Son Nom, décline Son identité, c’est afin que soit l’Identification parfaite.

JE SUIS

JE SU S

Le Nom de Jésus signifie : " Yahvé est salut " et
" « Je suis » est le nom de Dieu. " (Ramana Maharshi 88)
Et " il reçoit ici une explication par le verbe « être ». Dieu dit : « Je Suis » ; les israélites diront : « Il est » " et les allemands qui conjuguent aussi le verbe " être ", le traduisent " er ist " :

CHRIST

"Erist", c'est aussi le Superlatif, Ce qui est au-dessus de tout, excellent, Ce qui vient en tête, en premier, l'Origine (W).

Il ne fait aucun doute que le "Christ" est l'Être suprême, d'où l'ancien français "Chrestien" que l'on peut observer dans ce dictionnaire du 17ème siècle (W).

Il existe encore d’autres Identités qui se complètent et s’éclairent mutuellement. En page 149, le traducteur de la Bible mentionne celle-ci :

" Je suis celui qui est " (N)

Jésus Christ est Dieu manifesté, Dieu révélé au travers de Moïse à toutes les forces (" ils "), à toutes les facultés de notre être. C’est Dieu qui rassemble, réunit, concentre et libère toutes les capacités de notre être, afin de faire éclater Sa Lumière. Et celui qui a le courage de la voir et de s’en réjouir, est sauvé, délivré de lui-même, délivré de l’étroitesse de sa pensée, délivré d’une perception temporelle : le Christ ou " l’éternelle vie " de " l’éternel Dieu " est totalement réalisé en une Identification parfaite (N).
" 14 Et nous avons contemplé sa gloire... 16 Car de sa plénitude nous avons tous reçu, et grâce sur grâce ; 17 car la Loi a été donnée par Moïse, mais la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ. 18 Dieu " (Jean 1 :14)
Donc, " par " Dieu révélé à toutes les forces, à toutes les facultés de notre être, au travers de la Loi de Moïse qui est la juste Loi d’action, la Loi qui nous conduit, au travers de toute la vie, vers notre plein épanouissement, vers notre plénitude et ceci, avant même qu’il nous soit donné d’en prendre conscience, avant même que nous connaissions le Nom de Moïse. Il y a un Pouvoir incontestable qui guide ceux qui cherchent. Ce pouvoir est le pouvoir même de Dieu.
" Moise dit à Dieu : « Voici que je vais aller vers les fils d’Israël, et je leur dirai : « Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous. S’ils me disent : Quel est ton nom ? – que leur dirai-je ? » " (Exode 3 :13)
En disant, le premier : " Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous ", Moïse ne décline-t-il pas l’Identité de Dieu ? N’est-ce point Son Nom, Son identité ? Mais alors, " S’ils me disent : Quel est ton nom ? – que leur dirai-je ? " La question est parfaitement justifiée. Comment sauront-ils que c’est en écoutant Ma Parole, qu’ils Te connaîtront non seulement comme Celui qui libère, mais aussi comme l’Unique, " le seul véritable Dieu " ? Comment sauront-ils que nous sommes Un ?
" [Dieu] dit : « Je serai avec toi » " (Exode 3 :12)
Autrement dit : " Tu leur diras, Tu leur feras comprendre " que Je serai avec toi. "Et en effet, celui qui connaît son Moi, connaît obligatoirement Dieu, et celui qui connaît Dieu, connaît aussi " la Parole ".
" Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. " (Jean 1 : 1, trad. Louis Segond)
Après avoir considéré " la Parole ", la suite est d’une logique parfaite. Moïse décline l’Identité de Dieu, car le mot " identité " désigne tout simplement le

" caractère de ce qui est semblable ou confondu. " (dict.)

" 12 [Dieu] dit : « Je serai avec toi » 13 Moïse dit à Dieu : « Voici que je vais aller vers les fils d’Israël, et je leur dirai : « Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous. » " (Exode 3 :12)

Telle est l’Identité, telle est l’Unité révélée. Lorsque notre attitude sera bonne, parce que c’est une condition sine qua non, nous entendrons assurément, du fond de nous-mêmes, la voix de notre Moi, la voix de Moïse et il nous dira : " Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous. " Il nous dira Son Identité et nous réaliserons le " caractère de ce qui est semblable ou confondu. " C’est là que nous connaîtrons vraiment Celui qui nous a libérés et qui continuera à nous libérer de tout ce que nous croyons savoir et être. C’est là que nous vivrons de Sa Lumière, de Son Intelligence. Et Cela qui s’éprouve en Soi et nulle part ailleurs, Cela qui est bienheureux, est parfaitement crédible, digne de confiance.
" 14 Et nous avons contemplé sa gloire... 16 Car de sa plénitude nous avons tous reçu ; et grâce sur grâce, 17 car la Loi a été donnée par Moïse, mais la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ. 18 Dieu " (Jean 1 :14 N)

Quand Dieu a été révélé au travers de " la Parole " à toutes les forces, à toutes les facultés de notre être, il ne reste plus que la Vision de " sa plénitude " qui n’est autre que la Conscience de Ce que " nous " sommes (N). C’est là que commence la Réalisation du Soi, la Réalisation de Ce que nous sommes, en Vérité, en Réalité.

Donc, " par Jésus Christ ", par la Réalisation de Ce que " nous " sommes, en Vérité, en Réalité. Et non pas par un individu qui a peut-être existé, ailleurs, autrefois et qui est on ne sait où à présent.

Par " Jésus Christ ", par l’Identité suprême, par l’Unité révélée. Quand Dieu a été révélé à toutes les forces, à toutes les facultés de notre être, il ne reste plus que la Révélation de Dieu, que Dieu révélé. Par " Jésus Christ ", par la Réalisation de Son Identité.

" Je suis celui qui est "
Heureux celui qui réalisera " qui Je suis ", qui réalisera l’Identité suprême
" Je suis qui Je suis " (N)
Dans la Bhagavad-Gîtâ, qui est l’un des Livres les plus importants de l’Inde,

" Le Bienheureux Seigneur dit :

" Par la dévotion il en vient à Me connaître , à connaître qui Je Suis et combien Je Suis " (Bhagavad-Gîtâ 18 :55)

" Par la dévotion (N) ", donc par l’intérêt qu’il porte à Dieu, il en vient à connaître " Le Bienheureux " qui n’est autre que le Visage de Dieu que tout le monde aimerait bien connaître.

" Par l’intérêt qu’il porte à Dieu, il en vient à réaliser Mon Identité, à " Me " connaître comme son propre " Moi " et par conséquent, comme sa propre Réalité, comme son propre Soi.

Par l’intérêt qu’il porte à Dieu, Il en vient à connaître Dieu (" Je Suis N "), et combien Son Nom (" Je Suis ") est grand, combien la Réalité de Son être, pour ne pas dire de notre être, est grande. "

" Le Bienheureux Seigneur dit :

" Par la dévotion il en vient à Me connaître , à connaître qui Je Suis et combien Je Suis, et en la réalité entière et en tous les principes de Mon être ; M’ayant ainsi connu, il entre en Cela. " (Bhagavad-Gîtâ 18 :55)

" Ayant réalisé Mon Identité, M’ayant connu " en la réalité ", il entre en Cela, et voici la Réalisation du " Bienheureux Seigneur ", du Soi Bienheureux.

Donc par " par Jésus Christ ", par la conscience de " Ce que nous sommes " en vérité, en réalité, et qui ne saurait être séparée de la Conscience " Celui qui vit pour les éternités d'éternités, qui a créé le ciel et ce qui s'y trouve, et la terre et ce qui s'y trouve, et la mer et ce qui s'y trouve ".

" Un pandit : Je ne suis qu’un érudit. On apprend comme un perroquet. Mais de la Réalité, je ne sais rien du tout.

Mâ : Si l’on reste fixé sur la différentiation, comment savoir quoi que ce soit de l’identité ?

– Faut-il changer de vêtement pour parvenir à l’identité ?

– Non, pas de vêtement, mais de lunettes ; ou si vous préférez c’est votre vue qu’il faut corriger. " (Mâ Ananda Moyî P314 N)

Réaliser que nous apprenons spontanément comme ces oiseaux qui n’ont pas la capacité de considérer ni même réaliser ce qu’ils disent, est une grâce dont nous pouvons être à jamais reconnaissants, et de grâce en grâce, de prise de conscience en prise de conscience, le chemin de la Réalisation s’ouvre et se parcourt, mieux encore, il nous est donné de prendre possession de la Conscience de ce que nous sommes, et c’est quelque chose d’immense.

De même qu’un grand royaume ne se conquiert pas en une seule fois mais peu à peu, de même, prendre possession de la Conscience de ce que nous sommes passe aussi par des prises de conscience successives qui sont autant de victoires.

Dans l’évangile de Jean, le Texte est encore plus précis, il est dit : " grâce sur grâce ", autrement dit, si nous ne tenons pas compte de la grâce que nous recevons, il n’y en aura pas d’autres, et il est vain d’espérer progresser et conquérir.

" Mettre en pratique le peu que l’on sait est le meilleur moyen de savoir davantage, c’est le plus puissant moyen d’avancer sur la route – un tout petit peu de pratique bien sincère. "

Dire : " Oh ! nous faisons ce que nous pouvons. " Ce n’est pas vrai. Parce que si l’on est sincère, une fois qu’on a vu, cela devrait être définitif. Tant qu'on a pas vu, il n’y a rien à dire, mais le moment où l’on voit, c’est le moment où l’on reçoit la Grâce, et du moment où l’on a reçu la Grâce, on n’a plus le droit de l’oublier. " (La Mère de Pondichéry P&A P60 N)

D’une façon générale, nous ne réalisons pas ce que nous recevons, nous nous disons : " Oh ! nous faisons ce que nous pouvons ", et c’est ainsi que nous ne cherchons pas à connaître Dieu, et encore moins à réaliser " l’identité ". Cultiver la différentiation, dire par exemple, la Création est d’un côté, le Créateur est de l’autre, cela n’a aucun sens. C’est notre façon de voir qu’il faut corriger, et d’une façon générale, nous ne le faisons pas, nous nous contentons de répéter ce que nous ne considérons même pas,
" Aussi quelle pitié et quelle honte que, par notre faute, nous ne nous connaissions pas nous-mêmes et que nous ignorions ce que nous sommes ! Si l’on demandait à quelqu’un qui il est, et qu’il ne pût répondre ; qu’il ne sût pas davantage quel est son père, quelle est sa mère, et quel est son pays, que dirions-nous, mes filles [mes enfants], d’une pareille ignorance ? Eh bien ! s’il y a là une stupidité étrange, la nôtre est sans comparaison plus grande encore, quand, peu soucieux d’apprendre la dignité de notre être, nous ne nous arrêtons qu’à nos misérables corps. " (Sainte Thérèse d’Avila R)
Quelle lucidité ! Toute notre attention se porte sur les apparences extérieures, jamais sur Celui qui Se manifeste au travers d’elles. Le But est bien " d’apprendre la dignité de notre être ", afin de Le connaître, c’est à dire afin de vivre de " sa plénitude ", et pour Cela, il convient de ne jamais oublier que l’homme se connaît en connaissant Dieu, se connaît en considérant " la Parole " avec respect et intelligence.
" 14 Et nous avons contemplé sa gloire... 16 Car de sa plénitude nous avons tous reçu ; et grâce sur grâce, 17 car la Loi a été donnée par Moïse, mais la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ. 18 Dieu " (Jean 1 :14)
Shrî Aurobindo qui était versé dans les écritures de l’Inde, précise que " la loi de notre propre nature doit nous mener vers notre pleine réalisation.  N " La Loi de Moïse n’est autre que " la loi de notre propre nature " et, lorsque nous l’entendons, elle nous conduit assurément vers " notre pleine réalisation ", vers notre " plénitude " d’être. Et de même que Cela ne peut se faire sans réaliser " ce que nous sommes ", de même, il est inconcevable de réaliser " ce que nous sommes " sans réaliser " la dignité de notre être. " De même encore, il est impossible de contempler " sa " gloire " sans connaître la " loi " :

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Dieu d’abord, Sa Révélation ensuite !

Car c’est Lui seul qui réunit, Lui seul qui S’exprime (en Soi, à travers Soi), Lui notre être véritable, Lui qui est aussi " le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob  ", Lui " le Tout-Vrai, le Tout-Puissant, et le Tout-Heureux N ". Pour saisir cette Unité, il suffit, par exemple d’ouvrir le chapitre 33 (3 et 3) du Livre de la Genèse (de Dieu en l’homme), et de retrouver dans son contexte le Récit de Jacob. Au travers de la réunion, ce chapitre 33 n’exprime qu’une seule chose : " le Tout-Heureux ".

Dieu d’abord, Sa Révélation ensuite !

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Le Nom d’Israël qui a été révélé pour la première fois à Jacob, méritera d’être approfondi.

Les " fils d’Israël " sont avant tout les éléments qui marchent avec Dieu, les éléments au travers desquels Il Se révèle ou manifeste Sa Réalité.

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Dans l'introduction de la Bible, le traducteur présente avec le plus grand respect la Bible latine (qui nous sert de référence), la Bible grecque dite Bible des Septante et la Bible hébraïque, et il précise au sujet de la Bible grecque d'où est extraite cette Identité, qu'elle " a été l'Ancien Testament des premiers siècles du christianisme. " (P13)

La traduction de la Bible Osty est une traduction dite catholique. La traduction de la Bible Louis Segond est une traduction dite protestante. La Bible grecque est le fondement de la Bible dite orthodoxe.

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La Bible Louis Segond traduit " Yahvé Dieu " par " l'éternel Dieu ".

Le Christ est tout simplement " l'éternelle vie " de " l'éternel Dieu ", c'est pourquoi, " le Christ demeure à jamais " (Jean 12 :34) ou " le Christ demeure éternellement " (trad. Louis Segond)

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Dans ce dernier verset du Prologue, le Nom de Dieu succède tout naturellement à celui de Jésus Christ. La Parole est admirablement structurée et riche de sens.

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Dans les écritures, le pluriel est généralement synonyme de " plénitude ", de plénitude d'être :

" Je suis " est accordé à la première Personne du singulier." Nous sommes " est accordé à la première Personne du pluriel.

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Exode 3 :14

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Du mot " dévot " qui vient du " Latin ecclésiastique, devotus, « dévoué à Dieu » " (dict.) et du mot sanskrit " déva " qui se rattache également à Dieu.

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" « Je suis » est le nom de Dieu. "

(Ramana Maharshi 88)

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" La femme que toute l'Inde connaît maintenant sous le Nom de Mâ Ananda Moyî " est née en 1896 dans un " petit village qui fait actuellement partie du Bangladesh. " (P9).

Mâ Ananda Moyî est l'un des plus beaux Visages de Dieu.

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La Mère de Pondichéry ou Mirra Alfassa est née à Paris le 21 Février 1878. Elle arriva à Pondichéry en mars 1914 pour soutenir et parfaire l'œuvre de Shrî Aurobindo. La ville de Pondichéry " fut la capitale, jusqu'en 1954, des établissements français de l'Inde. " (dict.)

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Le château intérieur P21

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Commentaire relatif à l'Ishâ Upanishad, " Trois Upanishads " P18.

Shrî Aurobindo qui est né à " Calcutta en 1872 ", est considéré comme " l'un des plus grands maîtres spirituels de l'Inde contemporaine. " (dict.)

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" Dieu [Se fait connaître comme] le Tout-vrai, le Tout-Puissant, le Tout-heureux " (Shrî Aurobindo P&A 533)

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