La Parole divine est pain de vie et lumière dans l'âme ;elle est partout la même et partout différente, un seul Esprit radieux et illimité. (Mâ Sûryânanda Lakshmî - Les sentiers de l'âme P217)
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« Beréchith », et voici « le Réchit », et voici « les prémices » (dict. W) les Noms (N) et les Récits, les Révélations originelles, primordiales, les Révélations du Cœur même de la Vie avec lesquels et au travers desquels Dieu Se révèle, et voici « Du pain pour le cœur », selon la vision du rabbi Avraham Ifrah qui a su entrevoir dans le pain apparent, le pain cacher (N), le pain qui nourrit et qui est conforme à la Loi (9), le pain qui est "propre, bon, satisfaisant", suivant l'hébreu "cacher". Par nature, le Pain cacher est l'Aliment parfait, vrai, authentique, conforme, satisfaisant, le Bien suprême, le don de la Vie à la Vie. Ainsi « le pain », « le pain quotidien », « le pain » de ce jour est aussi la Connaissance qui s’offre à présent et au travers de nombreuses représentations à tous ceux qui ont faim de la découvrir, de la connaître et qui de fait, se retrouvent reliés, branchés à l'Origine (Home/Maison/ W) éternelle de leur existence. "Le Pain cacher" est le Pain qui Se révèle au travers du Pain apparent, "le Pain caché", et
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"Pour nous, [nous qui ne regardons pas aux choses visibles, mais aux invisibles N] demandons au Père éternel de recevoir notre Pain céleste en de telles dispositions, que si les voiles dont il s'enveloppe empêchent nos yeux corporels de le contempler, il se découvre du moins à ceux de notre âme et daigne se révéler à elle. C'est là une bien autre nourriture, toute de joie et de délices, et qui soutient très réellement la vie." (Sainte Thérèse d'Avila - le Chemin de la Perfection P143)
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Tel est ce Pain "emmailloté", cet Aliment enveloppé que l'on découvre, à présent au cœur de toute la Création, à "Bethléem" et qui soutient notre vie entière.
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"Pensez-vous, en effet, que cet aliment sacré ne soutienne pas aussi nos corps et ne soit même un remède efficace aux maux physiques ?
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Certes, ceci n'interdit pas de se nourrir et de se soigner convenablement mais lorsque que nous nous inquiéterons d'en faire la demande et que nous Le recevrons vraiment, alors nous saurons que ces propos sont rigoureusement exacts, et que son effet se renouvelle jour après jour, indéfiniment, allant même jusqu'à faire disparaître les maux physiques. Telle est cette "nourriture, toute de joie et de délices".
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"Quant à la nourriture destinée à soutenir notre existence, croyez m'en, nous la désirerons et nous la demanderons plus souvent que nous ne voudrions, même sans nous en apercevoir. Nul besoin qu'on nous y fasse songer. Je le répète, la pente fâcheuse que nous avons aux choses basses nous en fera souvenir plus que nous le voudrions. Ne portons donc volontairement nos préoccupations que vers les objets que j'ai dit. Quand nous les aurons obtenus, rien ne nous manquera. Ainsi, mes sœurs, [vous qui allez au cœur des choses, qui vous occupez "des choses intérieures N" et donc cachées] s'inquiète qui voudra de demander le pain matériel !" (Sainte Thérèse d'Avila - le Chemin de la Perfection P143)
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Ainsi « le pain », « le pain quotidien », « le pain » de ce jour est aussi la Connaissance qui S’offre à présent à tous ceux qui ne connaissent pas et qui ont faim de connaître et de découvrir, dévoiler Ce qui est caché (er), Ce qui va au-delà de l'apparence, au-delà des mots, et qui de fait, se retrouvent inévitablement relié, branché à l'Origine (Home) éternelle de leur existence, à leur Moi véritable. Et ici et maintenant avec l'Origine que "Beth le em" représente, souvenons-nous de ce mot sanskrit "prem" et de sa signification. Si l'on veut vivre de Sa véritable Conscience, si l'on veut tout au moins découvrir son Moi Réel qui apparait au centre de tout et dans "une mangeoire", il découle du plus simple bon sens qu'il convient de s'en nourrir, que vous "em" (en) mangiez, que vous "me" mangiez !
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"Moi", du "latin me en position accentué ; mei" (dict) Et ici ne commettons pas l'erreur de séparer la Parole de Ce qu'Elle révèle à tout homme qui se met en peine de réaliser en lui-même ce qu'Elle signifie ou représente. L'homme réalisé est celui qui vit jour après jour de son Véritable Moi, du "meilleur" de lui-même, qui s'en nourrit véritablement, ce n'est pas celui qui connaît des choses particulières, même si rien ne s'y oppose. Avec des mots et des images très simples et à la portée de tous, rabbi Avraham Ifrah qui a su entrevoir dans le pain apparent, le pain cacher, résume ce qui est essentiel et que nous avons tendance à perdre de vue dans le cours intitulé : "Je Suis ce que Je Mange". |
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Hach-em, l'Origine (HoMe ) qui est Dieu. Hachem est "le Nom", le Nom que l'on peut traduire par Dieu, puisque c'est Lui qui Se donne (à connaître) sous ce Nom. Hachem, Hashem la Connaissance de "ton Nom", Celle qui nous est "propre", qui est "Notre" pour ne par dire Personnelle.
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Donc du "Notre-Père", de Ce qui est "Notre", de "ton Nom"
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"Notre pain quotidien, donne-le-nous aujourd'hui" (Matthieu 6:11) |
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Car "Quand vous priez, [vous] ne rabâchez pas comme les païens" (Matthieu 6:7), comme ceux qui s'attachent à des paysages, à des configurations particulières, qui sont satisfaits de leurs savoirs ou encore de leurs pratiques dites religieuses ou spirituelles au point de s'en contenter pour tout salaire et qui, de fait, sont incapables de se relier à la Source même de leur Existence afin de prier convenablement, de prendre "le pain" de chaque jour (il prie & il prit), de vivre de la nourriture toujours fraîche et toujours renouvelée de l'Esprit. La Connaissance que l'on rencontre sur le Chemin, sous une forme ou sous une autre, n'a pas pour but de nous séparer de la Source de notre Existence, mais de nous y relier, mais de nous "brancher" comme "le chandelier à huit branches" qui rayonne de sa propre lumière.
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"La 'Hanoukia à huit branches sert à l’allumage familial des lumières de la fête de 'Hanouka, qui dure huit jours. Elle peut avoir différentes formes, parfois très fantaisistes (W), mais comporte toujours huit branches, plus une neuvième, le Chamach, décalée par rapport aux autres et qui sert à allumer les autres bougies." (Yeshaya Dalsace N)
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Il s'agit là d'une tradition remarquable qui s'inscrit dans les Évangiles (Jean 10:22) et qui gagne à être connue, d'autant plus que le mot "tradition" vient du "Latin traditio, de tradere, "remettre, transmettre." "(dict.) Au travers (trans) des traditions, et sans doute plus encore au travers de celle-ci, Dieu remet le pain à ceux qui s'efforcent de réaliser en eux-mêmes Ce qu'elles représentent et qui est universel. L'auteur de cet article précise encore qu'il ne faut pas confondre Menora (7 branches) et Hanoukia (8), même si cela peut se produire, comme il peut se produire rarement que Hanouka et Noël commencent le même jour comme en 2016 où
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« Maints automobilistes, mais aussi plus d'un piéton, se sont demandés ce que signifiaient ces affiches qui fleurissent régulièrement sur nos murs parisiens, au courant du mois de décembre... Que montrent-elles ? On y distingue nettement les lumières d'un magnifique chandelier à sept branches, surmonté d'un visage d'enfant rayonnant. » (Maurice-Ruben Hayoun W)
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77 - 71 = 6, l'Être à l'état pur.
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On devine très bien Ce que peut révéler "Hanouka" (= 71), d'autant plus que
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" cette année, elle tombe le même soir : pendant que les juifs allumeront la première bougie leurs frères chrétiens célébreront la naissance du Christ..." (Maurice-Ruben Hayoun N)
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Voici également deux autres affiches qui parlent d'elles-mêmes, Il est permis de voir dans ces deux affiches la signification parfaite d'une Manifestation divine, de voir "l'Unité" (= 81) primordiale qui est à la fois au commencement, au centre de Tout, l'Unité que chacun se doit de connaître. Ces deux dates (20-16 & 57-77) sont également remarquables. Si le Nombre 77 (= 20+57) , 2 fois le chiffre de Dieu, qui se rapporte au "Christ" (= 77), saute aux yeux, dans l'Inde le chiffre 16 (4 X 4) se rapporte à la Totalité que l'enfant divin représente alors sous le Nom de Krishna et avec un fractionnement, une division parfaite. Ainsi dit-on de Lui qu' "Il est une Incarnation de l’Absolu au 16/16ème de la Divinité." (Mâ Sûryânanda Lakshmî - Quelques aspects d’une sâdhanâ P95)
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" Considéré comme une incarnation divine parfaite, né à minuit comme le Christ, Krishna joua un rôle capital dans la restauration du dharma - l'ordre et la justice - et alluma la flamme de la spiritualité chez des êtres de toutes les couches sociales. Il continue à vivre dans le cœur de millions d'hindous et à guider leur vie. Comme il le dit dans la Bhagavad Gîtâ : " Afin de prodiguer ma grâce sur mes dévots, je demeure dans leur cœur et écarte les ténèbres nées de l'ignorance en faisant briller la lumière de la sagesse." Nous vivons dans l'ignorance de notre propre nature divine, aveuglés par maya, la Grande Illusion. Krishna, au cœur de notre nuit, vient lever le voile et nous montrer la splendeur éclatante de la gloire de Dieu." (W)
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En principe chaque jour de Hanouka, est une Révélation à part entière et toujours renouvelée. Suivant l'ordre de l'allumage de la Hanoukia, le premier jour, la première nuit, une lampe est allumée, le second jour, la seconde nuit, deux lampes sont allumées, le 3ème jour, la 3eme nuit trois lampes, etc. et enfin le 8ème jour l'Illumination est totale (la 9ème lampe et la 8ème lampe (98) étant allumées. De même que la 8ème lampe qui en vient à être allumée est celle de la "Hanoukia" (= 80), de même la 8ème Lumière qui vient à nous, la 8ème Incarnation de Vishnou, est Celle de "Krishna" (= 80) la Lumière du "Seigneur" (= 98) qui "au cœur de notre nuit, vient lever le voile et nous montrer [au travers d'une représentation toujours renouvelée] la splendeur éclatante de la gloire de Dieu." Ce faisant, c'est "la gloire" et "la splendeur" de notre propre Vie que le "Seigneur" révèle. |
22Arriva alors à Jérusalem la fête de la Dédicace. C'était l'hiver, 23 et Jésus circulait dans le Temple sous le portique de Salomon. 24 Les Juifs donc l'entourèrent et lui dirent : « Jusques à quand nous tiendras-tu l'âme en suspens ? Si c'est toi, le Christ, dis-le-nous ouvertement. » (Jean 10: 22)
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Le traducteur de la Bible précise : |
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« la Dédicace », elle se célébrait en décembre et durait huit jours ; on l'appelait aussi « fête des Lumières », en raison des grandes illuminations auxquelles elle donnait lieu." "Dédicace" mot "Emprunt au latin dedicatio « consécration, inauguration d'un temple, d'un théâtre »" (dict. W) "Hanouka : signifie "inauguration" (du nouveau Temple)" (W)
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La "fêtes des Lumières", la Hanouka à laquelle "les Juifs" prennent part s’inscrit dans le parcours de "Jésus" et elle se réfère au "Christ". Et chose remarquable, ceux qui ont vraiment accompagné "Jésus" depuis le commencement en arrivent à ne plus savoir qui Il est et, dans le doute, ils finissent par L'interroger... ... et même par Le lapider, par Le rejeter pour mieux Le retrouver, pour mieux réaliser Ce qu'Il "était" (Matthieu 27:54), la Révélation même de Dieu, car aussi longtemps que La Loi de l'accomplissement parfait ne sera pas réalisée, Il n'apparaîtra pas comme tel. Accueillir et rejeter sont les deux mouvements de Respiration de la Vie spirituelle, de l'assimilation spirituelle qui sont mis en scène dans les Évangiles. Si l'on se contente par exemple d'apprendre des choses sur un personnage du passé, comment Jésus pourrait-Il révéler en finalité Ce qu'Il "était" (Jean 1:1), Ce qu'Il n'a jamais cessé d'être ? Le Corps rejette la nourriture après l'avoir assimilée, il en va de même pour la nourriture spirituelle. On ne peut manger ni respirer sans rejeter. On ne peut vivre sans rejeter ! On ne peut avoir la Vie sans rejeter ! L'apparente vie dont "Jésus" S'est revêtu par amour pour nous conduire à réaliser Ce qu'Il "était" et que nous sommes, disparaît en finalité devant Sa Réalité éternelle. Par définition, "les Juifs" qui apparaissent dans les Évangiles, s'attachent à la Loi qu'ils appliquent avec toute leur rigueur. "Les Juifs" sont les Éléments avec lesquels, au travers desquels "Jésus" (= Ce que Je SUIS) Se révèle éternellement et, au lieu de juger Ce que les saintes Écritures mettent en avant, font apparaître, révèlent, au lieu de voir le mal en Elles alors qu'Il n'y en a point, il serait plus judicieux de voir en Elles l'attitude juste qui conduit à la Réalisation spirituelle, le Chemin de l'Achèvement parfait de toute la Création. Au sujet de sa propre expérience, Sainte Thérèse de Lisieux précise que dans la vie qu'elle allait découvrir et sans doute plus encore dans la vie spirituelle "... il se rencontrerait bien des choses capables de me troubler, surtout parce que ne connaissant pas le mal je craignais de le découvrir, n’ayant pas expérimenté que tout est pur pour les purs et que l’âme simple et droite ne voit de mal à rien, puisqu’en effet le mal n’existe que dans les cœurs impurs..." (Histoire d'une âme P143) |
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Le traducteur de la Bible précise que la Bible hébraïque n'a pas nommé les cinq Livres qui composent la Torah (la Loi) et les désignent simplement par "les premiers mots du texte hébreu ; ici en traduction : « Au commencement » (= Genèse), Beréchîth, et voici l'Exode, et voici que l'Intelligence Se libère de l'image restreinte qu'elle avait de Dieu et dans laquelle, elle s'était laissée enfermer.
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"La torah nous dit que le pain rassasie le cœur, comment se fait-il que le pain nourrisse le cœur, c’est par ce que sur le pain on prélève la Hala et que la Hala s’appelle Réchit c’est-à-dire prémices et que tout le monde a été créé avec Réchit comme il est écrit Beréchit dans le Réchit il y a la nourriture du cœur et ceci est valable pour toute chose, plus on recherche le vrai et plus cela alimente le cœur." (Avraham Ifrah W)
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"18 à nous qui ne regardons pas aux choses visibles, mais aux invisibles ; les choses visibles, en effet, sont temporaires, les invisibles sont éternelles. 5:1 Nous savons en effet que, si la tente qu'est notre maison terrestre vient à être détruite, nous avons une bâtisse qui est l’œuvre de Dieu, une maison éternelle qui n'est pas faite à la main, dans les cieux." (Deuxième Épître aux Corinthiens 4:18-5:1)
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" Quant à vous, mes sœurs, j'espère de la bonté de Notre-Seigneur que cela ne vous arrivera point, habituées comme vous l'êtes à vous occuper des choses intérieures, ce qui est d'un grand secours pour ne pas tomber dans une pareille stupidité." (Le Château intérieur P 24)
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"Tout d’abord il ne faut pas confondre la Minora, chandelier à sept branches avec la 'Hanoukia qui comporte huit branches et que toute famille juive possède chez elle. La 'Hanoukia à huit branches donc, sert à l’allumage familial des lumières de la fête de 'Hanouka qui dure huit jours.
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"La lumière de Hanouka brille dans le chandelier mais elle brille d'abord dans le cœur de tous... Cette fête juive qui dure depuis plus de deux mille deux cents ans tombe souvent aux environs de Noël dont elle est l'aînée, en quelque sorte ; mais cette année, elle tombe le même soir : pendant que les juifs allumeront la première bougie leurs frères chrétiens célébreront la naissance du Christ..." (Maurice-Ruben Hayoun W)
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