Mâ Les cahiers de Mâ

L' Apocalypse

Voici les textes des conférences données par Mâ Sûryânanda Lakshmî qui ont été retranscrites le plus rigoureusement possible par ceux qui sont venus l'écouter.

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 13

Chapitre 14

Chapitre 15

Chapitre 16

Chapitre 17

Chapitre 18

Chapitre 19

Chapitre 20

Chapitre 21

Chapitre 22

Chapitre 22 bis

Contrairement à bien d'autres études qui enferment l'homme dans une compréhension particulière des écritures, les études de Mâ Sûryânanda Lakshmî, ont incontestablement ouvert une porte sur une compréhension plus haute. De fait les explications qu'elle donne ne peuvent être ni les meilleures ni les dernières, ce qu'elle confirme elle-même en disant :
« ... ces explications que je vous apporte du Livre de l'Apocalypse, pas un instant je ne pense que se sont les dernières, les meilleures et les plus justes, que c'est le dernier mot dit sur l'Apocalypse, non ! C'est une explication, une porte que j'essaie d'ouvrir… Et je répète, je ne prétends pas du tout vous apporter la seule vérité sur l'Apocalypse, mais une façon de la comprendre selon l'Esprit. On peut certainement aller plus loin encore, beaucoup plus haut dans l'appréhension de la Vérité. »

Un enseignement valable n'a pas pour but d'enfermer ceux qui le suivent dans un savoir particulier aussi juste qu'il puisse être par ailleurs mais de libérer leurs potentialités. Heureux donc, ceux qui après avoir écouté, assimilé ses explications découvrirons toute leurs insuffisances. Car seuls ces derniers, s'ils ne peuvent s'en contenter, s'ils en souffrent, entreront par la porte qu'elle a ouverte et pourront aller plus loin encore.

.....................

A titre d'illustration...

Un enfant grandit avec tout un enseignement que ses parents lui donnent mais si à l'âge de 18 ans, il se contente de répéter : « Maman a dit que…, papa a dit que… », c'est le signe qu'il n'est pas encore mature, qu'il est encore incapable de penser par lui-même. Ainsi en va-t-il de ceux qui se contentent de répéter ce qu'on leur a donné au lieu de l'utiliser, au lieu de le dépenser dans le sentier de Dieu selon la Pensée du Coran (2 :1) afin d'élargir la conscience qui est la leur, en se mettant tout simplement en marche afin de s'éloigner de ce qu'ils savent déjà. Car on ne peut comprendre et encore moins concevoir l'Apocalypse ni aucun autre Texte sacré d'ailleurs sans s'éloigner la compréhension du monde et plus encore de celle qui fut la nôtre. Il ne faut pas craindre de s'éloigner, de s'éloigner toujours davantage car

"L'éloignement exige le retour." (Tao-tö king 25)

Le Tao-tö king est l'un des deux grands Livres de référence de la Chine.

Le dictionnaire précise deux sens primordiaux du préfixe "apo-" que l'on observera dans l'apo-calypse.

Pour que l'Apocalypse soit conçue, il est, en effet, indispensable d'avoir
" un esprit ... qui s'écarte du vain bruit des foules et des assemblées des hommes" (Bhagavad-Gîtâ 13:11)
Car si notre esprit reste à l'écoute "du vain bruit des foules et des assemblées des hommes", il ne lui sera pas possible de réaliser ce que l'Apocalypse signifie et nous en resterons à ce que nous savons et qui ne nous est guère profitable.

L'Apocalypse est avant tout "l'Apocalypse de saint Jean" ainsi que cela est mentionné en titre en haut du premier chapitre dans la traduction d’Émile Osty qui nous sert de référence. André Chouraqui nous offre également une traduction remarquable accompagnée de notes qui ne laissent guère de place à de mauvaises interprétations.

André Chouraqui a traduit le mot "Apocalypse" par le mot " Découvrement" et donc "Apocalypse de saint Jean" par "Découvrement de Iohanan", et "Révélation de Jésus Christ" par "Découvrement de Ieshoua" (une précision : N), ce qui met fin à cette ambiguïté. Voici aussi ses premières notes :

Par des chemins différents, en passant ici par l'hébreu "gala", la Pensée en arrive à la même conclusion. L’Apocalypse n'a pas le sens qu'on lui prête, celui de catastrophe et de fin du monde. Et dès à présent découvrions aussi l'étymologie du mot français "gala" :
"Gala : " (1670) De l'espagnol gala (« vêtement de parade, d'apparat, de fête ») : parés de gala « parés fastueusement » — (Le Mercure Espagnol, 1670) ; (1736) « fête fastueuse ». L'espagnol est attesté au XIIIe et issu de l'ancien français gale (« réjouissance »). Le maintien de la finale -a s'explique probablement par l'homophonie avec gale. Voir galon, « passementerie de luxe, ornement de parade » et galant signifiant autrefois « bien habillé »." (W)

Car "La Pensée [qui] préside" (Stances de la Loi 1) aux Révélations des mystères, des choses cachées, intérieures, invisibles aux yeux de notre mental, habille Ce qu'elle exprime en le revêtant des formes qu'elle emprunte au lieu, à la langue et à la culture où elle S'exprime afin qu'il puisse en prendre connaissance et par là même conscience.

L’Apocalypse est avant tout l'Apocalypse de Jean.

Précisons qu'il n'y a pas qu'un seul point de vue et que Jean avec lequel on peut s'identifier incarne l'Apocalypse en s'éloignant tout simplement de ce qu'il connait. C'est quelque chose de fondamental, d'essentiel qui est également demandé à Abraham (Genèse, chap.12). Comment peut-on espérer progresser, si peu que ce soit, si l'on se trouve retenu à ce que l'on connaît ? Dans l'Inde on parle du "libéré vivant". Lorsqu'un animal est attaché à un piquet, il rêve de s'en libérer pour aller plus loin, pour aller au delà mais l'homme qui a perdu son instinct, qui a perdu le goût de la liberté est amoureux de ses chaînes, de ses connaissances au point qu'il n'hésite pas à les défendre et parfois même au prix de sa propre vie.

L'Apocalypse est effectivement un Texte qui résume tout et les différents points de vue ne peuvent être dévoilés que l'un après l'autre et c'est en Grèce, à l'écart de tout Ce qu'il connaît, de toutes les influences, que Jean réalise l'Apocalypse.

Jean s'éloigne... en se rendant sur "l'île appelée Patmos" (Apocalypse 1:9), Il se rend là où tout a été révélé en finalité, il se rend en Grèce qui représente avant tout "le berceau" (W) qui est synonyme de "naissance", de "commencement" (dict. W). Puisse qu'il est de la nature des choses de s'en éloigner, il faut toujours revenir "Au commencement" (Genèse 1:1) Intérieurement la Grèce représente avant tout "le berceau", c'est-à dire le lieu "où une chose a commencé" (dict. W) à se manifester, à exister, à paraître...

Pour être plus précis, la Grèce représente de "le berceau de la civilisation" et même de "la civilisation occidentale" (W) mais nous n'y sommes pas encore. "Balylonne la grande" (Apocalypse 14:8) n'est pas encore tombée (W), "Jean" n'a pas encore réalisé, incarné Ce que l'Occident signifie. Mais "lorsque je le vis, je tombai" (Apocalypse 1:17)

En se rendant en Grèce, Jean s'éloigne de la vision restreinte et imparfaite qui fut la nôtre. Et dès à présent avec l'élément "apo-" on peut entrevoir Ce qui relie l'Apo-Calypse, Calypso (W) et Ulysse, l'acteur principal de l’Odyssée d'Homère (8ème siècle avant J-C) qui relate son retour.

L'Odyssée d'Homère illustre avec Ulysse, tout le cheminement de la Pensée, tout le cheminement spirituel : quitter ce que l'on connaît, en s'éloignant toujours davantage, en faisant découverte sur découverte, pour rentrer finalement chez soi. Car le but est bien de rentrer chez Soi. Et pour entrer chez soi, il faut impérativement s'éloigner de ce que l'on connaît. Et à titre d'exemple, les Écritures sacrées ne sont pas des livres d'histoire ni des fables de l'antiquité mais des Livres de Connaissance, de Connaissance de Soi et lorsqu'on perd cela de vue, on ne peut plus réaliser ce qu'elles signifient et illustrent de mille façons différentes. On ne peut que s'en tenir à l'écart.

Dans l'Apocalypse, il est permis de voir un préfixe tiré du grec, un "a privatif",

un préfixe qui inverse le sens, la polarité, un préfixe négatif et qui se rapporte à Calypso car Calypso qui présente plusieurs aspects, est déjà « celle qui cèle, enveloppe » (W) tandis que l'Apocalypse ouvre ce qui est celé, ("le livre et ses sept sceaux" Apocalypse 5:5), découvre, dévoile, développe.

Voici les mots qui découlent, qui dérivent du grec καλύπτω (W) :

Καλυψώ, Calypso

ποκάλυψις, apocalypse

ποκαλύπτω, dévoiler, découvrir

Et c'est avec "une foule nombreuse que nul ne pouvait compter" (Apocalypse 7:9), avec une plénitude d'être(s) qui s’éprouve que l'Apocalypse révélera la Ville, la Cité, la Félicité éternelle car
"Po" vient aussi du grec : "πόλις, ville, cité ; sanscrit, pur, s. f. pura, s. n. purî, s. f. ville, rapportés à la racine prī, emplir, qui est dans puru et dans πολὺ, beaucoup. Πόλις, ville, voudrait donc dire la foule, la multitude." (dict. W)

L’Apocalypse découvre et, en ouvrant "le livre et ses sept sceaux", ce sont les portes de la Cité céleste qu'elle ouvre aux bienheureux, à tous ceux dont la Vision aura été purifiée par la Connaissance qui tombe d'en haut (c'est un pléonasme), par la Connaissance pure des anges qui aura été versée... car la Connaissance spirituelle n'est pas une connaissance intellectuelle mais une connaissance qui s’éprouve en soi, qui s’éprouve dans sa chair.

Calypso qui présente plusieurs aspects, est déjà « celle qui cèle, enveloppe » (W) tandis que l'Apocalypse ouvre ce qui est celé, ("le livre et ses sept sceaux" Apocalypse 5:5), découvre, dévoile, développe.

Deux actions complémentaires car on ne peut découvrir que ce qui a été préalablement revêtu, couvert, "emmailloté" pour reprendre le verbe utilisé dans le récit de la Nativité.

" 6 Or donc, comme ils étaient là, furent révolus les jours où elle devait enfanter.7 Et elle enfanta son
fils, le premier-né, et elle l'emmaillota... [et]
12 pour vous le signe : vous trouverez un nouveau-né emmailloté" (Luc 2 : 6 & 12)

"Elle l'emmaillota" Celui qu'il nous appartient de découvrir. Et c'est l'Apocalypse, la "Révélation de Jésus Christ" (Apocalypse 1:1)

Et c'est la "Révélation de Jésus Christ que Dieu a donné" (Apocalypse 1:1)

Heureusement que Cela est précisé dès le commencement car on aurait pu croire que c'est la vision de l'Apocalypse que le monde donne qu'il faut prendre. Ceux qui n'ont guère de discernement et encore moins de considération, confondent les élucubrations du monde avec Ce que Dieu donne à connaître.
"vous trouverez un nouveau-né emmailloté"
Dit autrement :
" tout ce que les Prophètes apportèrent de sciences est revêtu de formes accessibles aux plus communes capacités intellectuelles, afin que celui qui ne va pas au fond des choses s'arrête à ce vêtement et le prenne pour ce qu'il y a de plus beau, tandis que l'homme de compréhension subtile, le plongeur qui pêche les perles de la sagesse, sait indiquer pour quelle raison telle Vérité divine se revêtit de telle forme terrestre ; il évalue le vêtement et l'étoffe dont il est fait et reconnaît par lui tout ce qu'il recouvre, atteignant ainsi une science qui reste inaccessible à ceux qui n'ont pas la connaissance de cet ordre." (Le langage prophétique, Ibn ul-'Arabî - Anthologie du soufisme P138)

Quand on considère le langage prophétique, il est possible de s’arrêter à l'apparence mais à condition qu'on la "prenne pour ce qu'il y a de plus beau" et si l'on réfléchit un peu, on se rendra compte que c'est Ce qu'il y a de plus beau au monde qu'Elle nous donne à voir. C'est toujours ce qu'il y a de plus "beau" et même de plus haut, de plus élevé qu'Elle nous donne à voir en tout et partout. A cela on reconnaîtra Ce qui vient d'Elle, Ce qui vient de Dieu.

On peut dire que "l'histoire commence" avec Celle qui emmaillote Celui qui saura retenir toute notre attention comme Elle retiendra Ulysse durant 7 années, c'est-à-dire durant tout le temps nécessaire à sa libération, le temps que tout soit dit, révélé (W), montré. Le temps qu'il se soit vidé de tout son contenu, en ayant versé beaucoup de larmes... Il faut se vider pour se libérer. La libération d'Ulysse est celle de l'Être, de notre être véritable, c'est la libération de Celui qui S'est manifesté comme l'acteur principal.

Dans Calypso, on peut voir aussi la Révélation de Son amour (pour Ulysse) car c'est Son amour qu'Elle met en avant, qu'Elle exprime, qu'Elle habile, qu'Elle emmaillote... C'est par l'Amour que de la Totalité que Dieu représente que l'on Se libère de la vision restreinte et imparfaite qui fut la nôtre, par l'Amour qui enchaîne, qui retient. Mais contrairement à celui du monde, l'Amour de Dieu n’enchaîne, ne retient que pour libérer. A ne jamais perdre de vue. Ici, on ne peut que recommander la lecture du "Carnet de pèlerinage" de Swâmi Râmdâs que l'Être suprême n’enchaîna que pour le libérer.

 

 

Iohanan & Ieshoua Jean & Jésus

Si un lexique peut être utile pour que chacun comprenne le langage de l'autre, le plus important c'est le chemin parcouru dans le découvrement des Noms qu'Il nous donne pour Se révéler avec eux.

Avec Iohanan qui traduit le nom de Jean, il est difficile de ne pas voir "io" qui signifie "je", "moi je" en italien et qui, avec un i grec, signifie "je" en espagnol : yo soy = je suis.

Chaque langue au travers desquelles Il Se révèle, met en évidence et révèle un aspect des Noms qui se rapporte à Dieu et dès à présent, il est bon de savoir qu'il y a deux formes du verbe "être" qui apparaissent en espagnol comme en portugais (W) mais aussi en italien et que le français confond. Une forme permanente et une forme impermanente.

Comme nous l'avons entrevu précédemment Yo est une forme du Nom de Yahvé qui peut encore s’orthographier avec un i ou un j W et qui signifie "Je suis" (R) et il est bon de savoir que le Nom de "Jean" signifie avant tout "Yahvé" et pour être plus précis "Yahvé fait grâce" comme le précise le traducteur de la Bible (Osty) au début de l’Évangile selon saint Jean. Il précise également au début de l’Évangile selon saint Matthieu que "Jésus" signifie "Yahvé", et pour être plus précis "Yahvé est salut". Ce sont des indications précieuses qui évitent bien des égarements comme le fait d'opposer l'Ancien et le Nouveau Testament ou encore de négliger le rôle de "Jean" dans la Révélation de "Jésus".

Il y a bien deux formes du "Verbe" (= 52 / 8 / 60), deux formes de l'Être que l’Évangile selon saint Jean met en avant : "Jean" puis "Jésus" et place l'une au-dessous de l'autre pour former un ensemble remarquable. Et lorsque ces deux formes apparaissent, Dieu (= 39) est manifesté ("Yahvé fait grâce" + "Yahvé est salut") = 309 !

Il y a bien deux formes du "Je" que "Yahvé" (= 61 / 11 / 72) représente en tant que dénominateur commun, deux formes du "Je" dont l'une est accentuée "Jean" et "sus", deux formes du "Je" qui sont "Di(2)eu" ; "eu" signifiant "je" en portugais W.

Il y a bien deux formes (o o) du "Je" que "Jean" et "Jésus" représentent, deux formes qui en se superposant, en passant l'une au-dessus de l'autre mais aussi l'une devant l'autre, selon ce qu'il en est dans l’Évangile font apparaître la 8ème lettre de notre alphabet avec sa signification, font apparaître l'Homme véritable, Celui qui est et qui était véritablement "un" et qui est aussi l'Homme premier dans les deux sens du mot, l'Homme dévoilé, l'Homme "nu" de la Genèse. La succession et la superposition que Ré représente dans l'Ancienne Egypte sont des notions importantes de la Création sur lesquelles nous reviendrons.

A noter que la lettre "J" étant absente du latin classique (W) comme du vieux français, on écrivait "Iesus" (W) et même "Iesvs" (W) le nom de "Jésus". A l'origine de Son nom, il a un signe (I) qui allait devenir la 3ème voyelle et la 9ème consonne de notre alphabet (39 !), qui allait finalement révéler ce qu'Il était.

"Jésus, en grec Ἰησοῦς / Iēsoûs, vient de Yehoshua (hébreu : יהושע), à travers sa forme abrégée Yeshua (hébreu : ישוע). Yeshua signifie « Sauveur » et Yehoshua est un nom théophore qui signifie : « Dieu (YHWH) sauve »" (W)

"Jésus" signifie "Yahvé" (= eu sou, en portugais W). Il est l'Être qui révèle Sa Divinité, c'est-à-dire qui révèle Ce que "Je suis", en révélant Ce qu'Il est et qu'Il était : la Révélation même de Dieu (= 39). Il n'y a pas à opposer les langues de même qu'il n'y a pas lieu d'opposer la lettre i qui se superpose à la lettre j qui lui succède mais plutôt de voir ce que contient et signifie la première lettre du nom de "jésus".

A noter encore que l'élément "ies" qui se détache dans le Nom de "Ieshoua" qui nous est donné au travers de la remarquable traduction d'André Chouraqui et que l'on retrouve dans le Nom de Iesus, est une forme ancienne du verbe être (estre à la deuxième personne) sur laquelle nous reviendrons également. "Jésus" est la Révélation d'une forme ancienne, antérieure de l'Être fondamental avec lequel tout se construit et sans lequel Il ne Se révélerait pas. Connaître Ce qu'Il représente, c'est non seulement connaître l'Être fondamental et suprême, le Soi du latin Sei, le Seigneur mais c'est aussi en avoir la Connaissance.

Le Nom de "Jean" (Iohanan) est plus complexe car Ce qu'Il représente aussi bien dans les Évangiles que dans l'Apocalypse, l'est tout autant. "Jean" (Iohannes W) présente simultanément plusieurs aspects qui ne peuvent être que développés que successivement avec beaucoup de considération.