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"2-2 Vingt-deux lettres fondamentales : Il les a gravées, sculptées, permutées, pesées, transformées. Avec elles, il a représenté tout ce qui a été formé et tout ce qui sera formé. "

(Sepher Yetsirah Wik. & W & N)

De même qu'il y a en tout et partout des éléments précieux qu'il faut savoir chercher et extraire de la terre, de même, il y a en tout et partout des paroles qu'Il sait trouver et mettre à jour, dès lors que l'on cherche à connaître...

"Au commencement", certains diront que la Bible était rédigée avec les 22 lettres de l'alphabet hébreu et qu'on ne peut pas partir des 26 lettres de notre alphabet. Mais n'est-ce pas en nous-mêmes "ici et maintenant" que nous prenons connaissance de toutes choses ? C'est donc en nous-mêmes que le Nom de "Dieu" Se révélera dans Sa lumière, c'est-à-dire que Ce qu'Il contient sera remonté à la surface, mis à jour et ce, au travers d'un rapport évident (26 - 22 = 4 !) et à condition de ne rien rejeter par simple préjugé car tout Se tient dans le rapport entre les différents éléments de la Création et non dans un élément en particulier. L'Unité est Lumière et des étincelles se produisent lorsque deux silex sont frappés l'un contre l'autre.

 

Dans les évangiles, il est facile de voir que "Jésus" n'a de valeur que dans les rapports qu'Il établit avec tous les éléments avec lesquels et au travers desquels Il Se révèle. Aussi important qu'Il puisse être par ailleurs, un élément seul, isolé de tout, ne révèle strictement rien. Par conséquent, si nous ne nous efforçons pas d'établir un rapport réel avec Dieu, la Gloire de cet "un" ne Se révélera pas.

 

André Chouraqui a dénoncé avec raison l'erreur qui a consisté a traduire "Dieu est un" par "il n'y a qu'un Dieu" ce qui est la définition même du monothéisme car en commettant cette erreur les conséquences ne peuvent être que malheureuses. Si nous faisons de Dieu un objet particulier, il devient à nos yeux un objet isolé, un objet qui ne peut plus révéler Sa Gloire qui est la gloire de notre vie, avec et au travers de toute la Création.

"Au commencement Dieu"

"Au commencent", ici et maintenant donc, les 26 lettres de notre alphabet, font entendre le son primordial (O), le son qui vient en premier : "Au" (= 22) et qui est "la première manifestation de la Réalité suprême, à la racine de toutes les créations à venir N" et de toutes les lettres avec lesquelles "il a représenté tout ce qui a été formé et tout ce qui sera formé." (Sepher Yetsirah)

 

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"II est venu à vous sous la forme de Shabda Brahman (le son éternel qui est la première manifestation de la Réalité suprême, à la racine de toutes les créations à venir) et d'Avatâra Shabda (Descente de Dieu sous forme du Verbe)." (Mâ Ananda Moyî P292)

Car à la base de toute la manifestation, il n'y a qu'une seule Syllabe qui Se prononce, qui Se met en avant avec toute la Création, avec toute la Réalité d'un seul être qui est Dieu.

"Au commencement Dieu..." (Genèse 1:1)

"Au commencement était... " (Jean 1:1)

 

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--" A quoi correspond ce nombre 91 ? " --

" Le premier mot du verset 4, chemA, écoute, se termine par la lettre ayin qui, dans les éditions traditionnelles de ce verset, est plus grande que les autres lettres du texte. Il en est de même pour la dernière lettre du dernier mot de ce même verset, ékhaD, Un, le daleth. Lorsqu'on joint ces deux lettres, le aïne et le daleth, on obtient le mot 'èd, témoin. Israël est le témoin dans ce monde de l'unité de son Seigneur, YHWH." (Wik.)
Dieu 39 31 70
èD 09 01 10

"Ici et maintenant", c'est toute la Vie (▼) qui témoigne, qui est le Témoin de Dieu et on peut dire que "Israël", c'est aussi l'âme (▲) qui connaît Dieu, qui est Témoin de Dieu, l'âme qui est au centre de tout et que Dieu sauve, alors, "écoute ô mon âme Celui qui Se révèle dans la Vie. écoute, Israël celui qui Se révèle avec toi, sois attentif à Ses paroles ". N'oublions pas que Dieu révèle tout simplement Sa Présence en Israël, pour utiliser la terminologie biblique, Sa présence dans la Vie et c'est ainsi qu'Il révèle la Réalité profonde de notre Existence. La terminologie biblique est une terminologie universelle qui n'a pas besoin d'être remplacée par une autre.

 

La Création que Dieu aime, que Dieu anime, révèle l'Unité du Nom le plus important de Dieu (IHVH).

le aïne et le daleth 138 114 252
le Tétragramme 138 114 252
Lorsque le "ayin" (valeur 4) et le "daleth" (valeur 70), se rejoignent, l'Unité apparaît et toute la Vie révèle la Gloire de "Jésus" (= 74), la gloire de Dieu manifestée dans Sa Création et avec toute Sa Création ! Et ici, il n'y a plus de frontières, plus d'usage restrictif ou abusif des mots, plus de vision limitée, ici,
"Seule l'éternité illimitable est là." (Shrî Aurobindo - Nirvana)
L'éternité que la Totalité révèle en tout et partout, l'éternité que le Sans-Nom et le Nom révèlent en tout et partout. Selon les traductions de la Bible, ces deux formes apparaissent en tout et partout. Il est juste que le Nom de Di(eu) apparaissent à la fois comme Sans-Nom et comme Nom, comme un Sans-Nom qui révèle Son Identité en tout et partout. Au sujet des écritures de l'Inde, et notamment de l'Ishâ Upanishad, Shrî Aurobindo précise :
"Ce serait une erreur de croire que les Upanishads enseignent comme seule existence vraie celle d'un impersonnel et inactif Brahman, d'un Dieu sans attributs ni qualités, sans pouvoirs ; Elles affirment plutôt l'existence d'un Inconnaissable qui se manifeste à nous sous le double aspect de la Personnalité et de l'Impersonnalité. R"
Si l'écriture du Tétragramme, mot introduit en 1839, fait appel à l'idéographie, mot introduit en 1839, c'est parce que ce système d'écriture permet de représenter l'Unité d'un Nom et d'une Création qui n'a rien laissé au hasard, pas même la logique mathématique qui s'y rapporte.

"Entends, Israël, tétragramme, notre Elohîms, tétragramme un" (Deutéronome 6:4, trad. A. Chouraqui)

"écoute, Israël : l'éternel est notre Dieu, l'éternel est un !" (trad. du Rabbinat)

"écoute, Israël ! Yahvé, notre Dieu, est le seul Yahvé. " (trad. é. Osty)

Parce qu'Il est "un". Il est donc "le seul", "le seul Yahvé" qui Se manifeste en tout, le Soi, le Soi parfaitement identifié.

Dans la Bible, cet "un" qui est Dieu, révèle Son Unité et Son Identité avec "Israël", de même qu'Israël révèle Son Unité et Son Identité avec deux 2 tri-angles (2 x 3) superposés qui constituent un Idéogramme remarquable.

3 + 3
l'étoile de David
Dieu 39 31 70
39 - 31 = 8 (N)

Le symbole d'Israël est à l'image de ces deux lettres dont l'une est ouverte vers le haut et l'autre vers le bas : "un" car il est avant tout l'image d'un seul signe au graphisme remarquable "U" que l'on écrivait "V" dont l'un est orienté vers le haut et l'autre vers le bas (YHWH ,IHVH).

 

Le symbole d'Israël est encore à l'image de ces deux Nombres, un positif (39) et un négatif (31) qui sont à la base de ce mode de calcul, et

"Nos maîtres ont décelé le nom de Dieu dans le mot "souccah" (= 70 !)

Comme il est possible de le voir dans la Bible qui nous sert de référence, "Yahvé" (= 61) révèle éternellement Son Identité avec "Israël", avec et au travers de toute la Création. Ainsi par exemple, "ici et maintenant", les deux triangles qui composent l'étoile de David peuvent s'obtenir à partir d'un clavier d'ordinateur en appuyant sur la touche "alt" + 30 pour le triangle qui est orienté le haut (▲) et "alt" + 31 pour le triangle orienté vers le bas (▼) (30 + 31 = 61) car c'est Lui révèle (en soi et à travers soi) Ce qui est semblable et confondu, Ce qui est égal (=), ces deux traits parallèles et que l'on peut obtenir en appuyant sur la touche "alt" + 61 !

 

L'étoile de David qui se compose de deux triangles absolument égaux (▲ et ▼) révèle le Dieu de toute la Création, le Dieu d'Israël, en montrant la Direction, le Chemin, en révélant le Chema parfait. Ainsi Ce qui va vers le Bas (31), vers l'Unité, est égal à Ce qui va vers le Haut, vers le Très-Haut, vers l'Absolu (O). L'humilité est donc le Chemin des plus hautes réalisations (voir Deutéronome 32:10-13).

 

"Israël", c'est toute la Vie et pour les israéliens (au sens courant), c'est sans doute difficile à vivre, parce que Dieu a chargé "leur pères" d'un poids immense afin qu'ils n'aient pas à le porter, d'un poids immense dont ils peuvent toujours se décharger en se souvenant par exemple que

« c'est seulement de tes pères que Yahvé s'est épris pour les aimer » (Deutéronome 10 :15)
Devenir Témoin de Dieu, c'est devenir Témoin de l'Activité divine que tout homme sans exception peut observer en tout et partout, en commençant par les écritures et c'est une nécessité évidente à laquelle on parvient assez facilement se souvenant de cette parole bienveillante :
"Rien ne te concerne, ô homme, tout concerne Dieu ! " (Mâ Sûryânanda Lakshmî - Les sentiers de l'âme P183)
Que le lecteur ne s'imagine pas non plus qu'il est facile humainement de jouir d'une Conscience qui rend possible la rédaction d'une telle étude.
"Rien ne te concerne ô homme, tout concerne Dieu ! " en toi !

Il n'est donc pas nécessaire de s'alourdir inutilement et se voir affligé ! Après un moment béni, un moment d'Identification, il est impératif de revenir à l'état premier, quitte à trébucher. Il est impératif de revenir à l'état dans lequel on n'est encore rien, on ne sait encore rien et dans lequel on sait seulement que l'on a encore tout à connaître et tout à aimer. Si l'on part du "haut", si l'on inverse le sens de la Loi, si l'on se place au-dessus des autres, si l'on se prend pour "je ne sais qui ou je ne sais quoi", on ne peut qu'élever son "petit ego" et avec ce dernier son ignorance, avec toutes les conséquences malheureuses que cela entraîne obligatoirement et qui sont visibles partout dans le monde. Ici plus que jamais, "la crainte" nous préserve du pire. (Deutéronome 10:12 et suivants)

 

L'humilité vraie permet aussi de reconnaître Ce-qui-est de façon à en tenir compte, de façon à louer Dieu, de façon à emprunter Ce qui n'appartient qu'à Dieu, Ce qui implique aussi de Lui rendre toutes choses en temps voulu, en veillant à ne pas conserver et encore moins détourner au profit de sa "petite personne humaine" une gloire qui n'appartient qu'à Lui car c'est Lui qui révèle l'égalité parfaite (6+1) = 7, l'égalité suprême, et ici c'est l'Esprit, notre Esprit qui Se révèle et Il ne fait qu'un avec Dieu.

l'étoile de David
Et c'est Lui encore qui permet de distinguer et qui distingue en tout et partout Ce qui est nécessaire pour chacun et pour tous. Dans Wikipédia, on peut retenir ceci :

" Pour les Pharisiens et les docteurs de la Torah, l'étoile à six branches symbolisait les six jours de la semaine, le septième jour, celui du repos divin (le shabbat), était symbolisé par le centre de l'étoile. C'est en quelque sorte une représentation de la plénitude du chiffre sept, chiffre sacré." (Wik.)

"Car en six jours Yahvé a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s'y trouve, mais il s'est reposé le septième jour. Voilà pourquoi Yahvé a béni le jour du sabbat et l'a sanctifié." (Exode XX, II, en chiffre romain) !

C'est seulement dans la lumière "du sabbat" (= 70 !) dans le repos Divin où toute activité mentale cesse, que tout est saint, que tout est un. C'est lorsque nous sommes isolé dans "la Souccah", dans la cabane, dans "la tente de la rencontre" (voir Exode 33 7-14), où rien ne vient se glisser entre Dieu et nous, où rien ne vient perturber et pervertir cet instant béni que tout est vrai et tout est pur. Le sabbat tel qu'il est pratiqué dans le monde est une représentation d'un état intérieur qui devra être réalisé en esprit et en vérité.

" Isolé dans l'amour de Râm qui seul délivre,
et la joie de Râm, qui seule assouvit."

 

(Mâ Sûryânanda Lakshmî - les sentiers de l'Ame P40)

 

L'Amour de Râm, c'est l'Amour de la Lumière de Dieu qui est une et indivisible et qui est au centre de tout.

Cette Lumière qui est au centre de tout, c'est l'Amour de l'Être suprême.

Cette Lumière est au cœur d'un mot admirable, mais

" Avant d'aller plus loin, je veux vous faire considérer le spectacle qu'offre ce château si resplendissant et si beau, cette perle orientale, cet arbre de vie planté au milieu même des eaux vives de la Vie, qui est Dieu, cette âme, en un mot, lorsqu'elle tombe dans un péché mortel. Il n'est pas de ténèbres plus épaisses, rien qui approche de cette obscurité et de cette noirceur. N'en cherchez pas d'autre cause que celle-ci : ce même Soleil, qui lui donnait tant de splendeur et de beauté, bien qu'il soit au centre de cette âme, y est comme s'il n'y était pas, en ce sens qu'elle ne participe plus à sa lumière, elle est pourtant aussi apte à jouir de la divine Majesté que le cristal à réfléchir la splendeur du soleil. En cet état de péché mortel, rien ne lui profite, et toutes ses bonnes œuvres sont stériles quant à l'acquisition de la gloire. Et, en effet, ce qui ne procède plus du principe qui fait que notre vertu est vertu — je veux dire de Dieu — ce qui s'accomplit dans l'actuelle séparation de lui, ne peut être agréable à ses yeux. Aussi bien, l'intention de celui qui commet le péché mortel n'est-elle point de contenter Dieu, mais de faire plaisir au démon. Or, celui-ci étant les ténèbres mêmes, la pauvre âme devient avec lui une seule et même obscurité." (Sainte Thérèse d'Avila R)
Il n'est pas dans notre intérêt de sous-estimer l'expression "péché mortel" et encore moins de nous imaginer qu'il ne nous concerne pas car tout ce qui s'accomplit dans "l'actuelle séparation de lui" ne peut guère nous être profitable. Tous ceux qui ne s'efforcent pas de rentrer dans "la souccah", de rentrer en eux-mêmes en s'efforçant d'intérioriser et d'actualiser toutes choses ne font pas "Oraison" et "la splendeur du soleil", de ce resplendissant Soleil qui est au cœur de la Révélation de Dieu (Is-ra-el), nous échappe totalement. Pourtant, c'est si facile,

« Il suffit de s'abandonner, c'est-à-dire de s'en remettre à la cause originelle de son existence. Ne vous illusionnez pas en vous imaginant que votre source est un Dieu en dehors de vous. Votre source est «en vous ». Vous n'avez qu'à vous abandonner à elle. C'est-à-dire que vous devez chercher cette source cachée en vous et vous y plonger. C'est parce que vous vous imaginez que vous êtes situé en dehors d'elle que vous posez la question : « Où est la source de mon être ? »


Il y a bien entendu ceux qui soutiennent que le sucre ne peut pas goûter sa propre douceur et qu'il faut l'intervention d'une autre personne pour le goûter et le savourer ; de même un individu
[= un indivisible] ne peut pas en même temps être le Suprême et goûter la félicité de son état ; c'est pourquoi l'individu doit exister d'un côté et Dieu de l'autre, pour que la « saveur » puisse être goûtée.


Mais est-ce que Dieu est dénué de conscience comme le sucre ? Comment peut-on à la fois s'abandonner complètement et conserver son individualité pour jouir de la félicité suprême ? De plus ces gens prétendent que l'âme, ayant atteint la région divine, demeure en cet état pour servir l'être suprême. Est-ce que le mot de « service » peut vraiment abuser le Seigneur ? Est-ce qu'Il ne sait pas tout ? ·Attend-Il vraiment que ces gens Le servent ? N'a-t-Il pas tout savoir et tout pouvoir ? Ne demanderait- Il pas plutôt, Lui qui est pure Conscience: « Qui êtes-vous donc, qui affirmez être séparés de Moi et qui avez la prétention de Me servir ? »
(Ramana Maharshi 181)

C'est dans la cessation de l'activité, (le Sabbat) que tout est vrai et que tout est pur car tout
"ce qui s'accomplit dans l'actuelle séparation de lui, ne peut être agréable à ses yeux" (Sainte Thérèse d'Avila)

 

Cette Lumière qui est au centre de tout, c'est l'Amour de l'être suprême. Cette Lumière du Soi, du Soleil, du Seul qui est, est au cœur d'un mot admirable. En disant : "écoute, Israël !" (Deutéronome 6:4), le Chema révèle de la façon la plus directe qui soit le Secret le plus haut à ceux qui sont en mesure de l'entendre. Nos efforts doivent toujours être en accord avec le But à atteindre et il nous appartient tout simplement d'être à l'écoute de toute la Vie car c'est avec Elle et au milieu d'Elle que l'être suprême Se révèle et Se révélera dans notre âme pour le Bonheur. Et ainsi, tu L'aimeras véritablement.

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L'étoile de David révèle la Totalité comme celle ci-dessous qui date de 1008 et qui apparaît sur "la plus ancienne copie du texte massorétique de la Bible hébraïque subsistant dans son entièreté." (Wik.)

l'étoile de David

L'étoile de David s'inscrit dans un Octogramme.

L'étoile de David - la plus ancienne copie complète du Texte massorétique, Codex de Léningrad (W)

 

Dans cette copie complète de 1008 aux nombreux détails évocateurs, quatre triangles externes entourent, circonscrivent l'ensemble. Nous observerons aussi que l'Exagramme, l'étoile à 6 côtés, est au centre de l'Octogone qui est formé par deux carrés identiques. Les deux carrés (4 + 4) dans lesquels s'insèrent deux séries de 8 cercles constituent un Octogramme, un Symbole universel (W) qui résulte de la réalisation du Nombre sacré, de la Réalisation de "ce Dieu " (= 47 / 41 / 88) en lequel et sur lequel tout est réalisé.

détail

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Le Château intérieur P26

 

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Trois Upanishads P53

 

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